Déni, illusion de sécurité, sentiment d’impuissance et impréparation semblent prévaloir en matière de préparation de la population au risque d’un blackout à l’échelle européenne. Blackout reste un terme qui effraie et encore un peu tabou au sein de certaines chancelleries alors que les gouvernements américain, autrichien et suisse – parmi d’autres[1] – mobilisent depuis quelques années leurs populations à s’y préparer. La prosilience[2] devient un enjeu de sécurité nationale. Perspectives.
L’enchevêtrement de toutes les crises en gestation atteint une intensité telle qu’il est difficile de croire qu’une rupture majeure n’ait pas lieu d’ici la fin de l’année. Sans parler des [...]
La crise ukrainienne permet actuellement à beaucoup de pays d’avancer leurs pions. Au premier rang de ces acteurs, on trouve la Turquie qui, en partenariat avec Israël, est en train [...]
BRICS + Si le continent européen semble vivre au rythme des livraisons d’armes à l’Ukraine et des ondes de choc politiques que le conflit provoque dans nos sociétés, cette guerre [...]
Or, Bitcoin : privilégier les placements traditionnels // Yen : premier pion à chuter ? // Fin des moteurs thermiques en 2035 // Pétrole : la hausse continue Or, Bitcoin : privilégier [...]
Commentaires