Le ciseau conjoncturel se referme sur le secteur global de la construction. Le modèle économique qui a prévalu jusqu’ici, basé en très large partie sur la construction neuve, ne sera bientôt plus tenable alors qu’un autre modèle, répondant à une approche plus pragmatique de maintenance et de rénovation de l’existant, n’est pas encore en place pour prendre le relais.
Partie intégrante de la transition systémique globale, le secteur de la construction et par extension celui de l’immobilier représente une part significative du PIB mondial (12% rien que pour la construction[1]). Il est un condensé des enjeux environnementaux, financiers, sociaux, démographiques et bien sûr politique.
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