Vous l’aurez sans doute remarqué aussi, les derniers populistes de la planète sont tous en difficulté. La mode en est passée semble-t-il… Les nouvelles générations propulsées au-devant des sociétés post-choc de la Covid ne se reconnaissent pas en eux et leurs oppositions se sont organisées.
C’est déjà ce constat que nous avons fait il y a deux mois à propos de l’Europe de l’est qui pourrait être redevenue beaucoup plus euro-compatible d’ici 2022. Andrej Babis (Tchéquie) et Boïko Borissov (Bulgarie) ont déjà été éliminés en cette fin d’année. Ce sera bientôt le très emblématique Viktor Orban, tête de file du «populisme » européen pro-Russe honni, dont la présidence sera soumise au vote en avril ou mai 2022, une élection où il fera face à une coalition de 6 partis qui ne devraient faire qu’une bouchée de lui.
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