Blockchain alimentaire
Gaspillage, obligations de traçabilité, augmentation des risques alimentaires, production décentralisée, coûts de cette globalisation agroalimentaire, prix à la consommation : les consommateurs et les acteurs du secteur sont de plus en plus exigeants quant à la transparence du circuit agroalimentaire, les origines des produits, leurs compositions et processus de transformation. Industriels, producteurs, fournisseurs, distributeurs, consommateurs : l’ère est au partage des données et à la transparence, offrant la possibilité de retracer toute la filière depuis la production ou l’élevage à la distribution, en passant par la transformation pour apporter une protection renforcée contre les risques en matière de santé, une appréciation des coûts et des prix, mais aussi le renforcement des cadres législatifs. La technologie blockchain vient rationaliser le traitement de l’ensemble de ces préoccupations. Des grands groupes comme Carrefour[1] ou Walmart, dont les enseignes se répartissent dans le monde, sont déjà lancés dans la course. Le marché mondial très fragmenté permet le développement de multiples propositions de blockchain dans ce domaine, dont le marché devrait atteindre 1,4 milliard de dollars d’ici 2028[2].
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– Marché financier : ashes to ashes, junk to junk
– Investissements : où va l’argent sage ?
Convaincue que le scandale des émissions est désormais derrière elle, l’industrie automobile allemande est prête à redémarrer. VW, par exemple, aligne 440 000 véhicules en octobre (au lieu des 310 000 en août dernier). Mais deux marchés sont sur le point de lui échapper, et pas des moindres…
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